La'rt dé'tre en retard réunion

On a tous nos défauts. Pour certains, c’est la ponctualité… et je parle en connaissance de cause ! Malgré ce que les gens pensent, se lever plus tôt ou partir en avance ne change rien, les « retardataires chroniques » trouveront toujours un moyen d’arriver en retard. Face à cette problématique embarrassante, beaucoup ont développé une arme (pas toujours) efficace : les excuses.

Commençons par la plus célèbre, la plus utilisée mais aussi la plus crédible des excuses : les embouteillages. Adulé des Parisiens, cet alibi est utilisé par tous. Il faut dire qu’il y a de fortes chances pour que ce soit réellement le cas lorsque vous circulez dans la capitale. Et puis si votre patron vous rétorque que vous n’aviez qu’à prendre les transports en commun, répondez-lui du tac au tac que vous avez vu au JT de 20H la veille qu’ils annonçaient une gréve à la RATP (là encore vous avez 80% de chances que ce soit vrai).

Si vous avez déjà utilisé l’excuse des bouchons au cours de la semaine pour justifier votre retard et que vous souhaitez vous diversifier, prétextez la panne d’ascenseur (é condition que vous ne soyez pas claustrophobe). En effet, un ascenseur tombe en panne en moyenne trois fois par an et cela peut aller jusqu’à plus de vingt fois pour les plus défectueux ! De quoi vous constituer une petite réserve d’excuses pour l’hiver…

Il est probable que vous ayez déjà utilisé ces deux premières excuses avant même qu’on ne vous en parle, c’est pourquoi nous avons beaucoup réfléchi pour vous préparer quelques excuses plus improbables les unes que les autres. Je vous parle de celles pour lesquelles votre supérieur n’osera rien vous dire pour votre retard (sauf s’il s’aperçoit du subterfuge), mais que sous aucun prétexte vous ne pourrez réutiliser !

Je suis en retard parce que…

1. « Mon chien s’est fait renversé par une voiture. » Heureusement tout va bien car vous avez pu l’emmener à temps chez le vétérinaire !

2. « J’ai été interpellé à tort par le GIGN. » Et oui même les super-gendarmes peuvent frapper à la mauvaise porte…

3. « Je me suis perdu ! » ça arrive à tout le monde de s’égarer, mais bon quand même si vous travaillez depuis 5 ans dans la même entreprise, évitez !

4. « Ma grand-mère à confondu mon réveil avec son pèse-personne. » Précisez qu’elle est atteinte d’Alzheimer ça donnera du crédit à vos propos (même s’il y a peu de chances pour que vous soyez pris au sérieux).

5. « Je n’avais plus de lait pour mes céréales. » La il n’y a rien à redire, un petit déjeuner sans lait c’est intolérable : cela justifie très largement un retard et ce sera certainement pardonné !

Voilé il ne vous reste plus qu’à choisir, et dites-vous que certaines de ces excuses on vraiment été utilisées… On vous laisse imaginer lesquelles !